Les superbénéfices du commerce du pétrole ne protègeront pas la Russie contre la crise, d’autant plus qu’il ne faut pas s’y attendre dans un avenir prévisible. Les impôts réguliers payés par les entreprises et les citoyens doivent jouer le rôle clé, a dit aujourd’hui Vladimir Poutine à la séance du gouvernement russe. Le gouvernement a examiné pour la première fois la liste complète des mesures anticrise.
La Russie perfectionne son système fiscal. Les impôts ont été baissés dans le deuxième semestre de 2008 ce qui a constitué l’une des mesures de la lutte contre la crise, a rappelé Vladimir Poutine. L’Etat sera contraint de contrôler les entrepreneurs pour qu’ils ne se retirent dans les « structures parallèles », a dit Vladimir Poutine.
Il faut régler la crise en restructurant la production, en implantant les technologies de pointe, en fabriquant les produits compétitifs et non pas au moyen de la fraude fiscale. Toute tentative de se retirer dans l’économie parallèle sous prétexte de la crise sera réprimée.
La Russie perfectionne son système fiscal. Les impôts ont été baissés dans le deuxième semestre de 2008 ce qui a constitué l’une des mesures de la lutte contre la crise, a rappelé Vladimir Poutine. L’Etat sera contraint de contrôler les entrepreneurs pour qu’ils ne se retirent dans les « structures parallèles », a dit Vladimir Poutine.
Il faut régler la crise en restructurant la production, en implantant les technologies de pointe, en fabriquant les produits compétitifs et non pas au moyen de la fraude fiscale. Toute tentative de se retirer dans l’économie parallèle sous prétexte de la crise sera réprimée.
Poutine a rappelé aux ministres que plus de 400 milliards de roubles ne seront pas versés à l’Etat en 2009. Néanmoins, les autorités baissent les impôts pour que les entreprises puissent fonctionner pendant la crise.
Malgré le déficit sérieux, les dépenses budgétaires ne seront pas réduites. Cela concerne avant tout le financement des programmes sociaux, a souligné Poutine.
J’ai en vue la démographie, l’enseignement, la Santé, les allocations, les innovations, le soutien des programmes liés à la maternité et à l’enfance. Nous ne réviserons pas nos priorités.
Malgré le déficit sérieux, les dépenses budgétaires ne seront pas réduites. Cela concerne avant tout le financement des programmes sociaux, a souligné Poutine.
J’ai en vue la démographie, l’enseignement, la Santé, les allocations, les innovations, le soutien des programmes liés à la maternité et à l’enfance. Nous ne réviserons pas nos priorités.
